Comme le révélions le 31 mars, le rapport de la commission de contrôle de gestion accable l’office des poursuites. » Dix millions de francs restent en déshérence. Avant la bascule informatique vers le nouveau logiciel Opus, l’office a voulu redistribuer aux créanciers l’argent versé par les débiteurs. Mais le système a lâché, indique le rapport. Suite au problème, « l’argent n’a pas été versé.
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