Un bus autonome à Meyrin
Petite, silencieuse, la navette autonome assure en semaine, matin et soir aux heures de pointe un parcours en boucle sur 2 kms entre la gare de Meyrin et le réseau des trams au cœur du village.
11 passagers, pour une vitesse maximale de 25km/h. La navette autonome, ne l’est pas complètement. Pour des questions juridiques, un opérateur doit être présent.
Ce petit bus électrique a coûté 300 000 francs aux TPG qui l’a testé tout l’été avant le lancement officiel.
Ce projet inscrit dans un consortium européen avec d’autres villes tests a pour objectif de préparer l’intégration technique, juridique de ces véhicules dans l’espace urbain.
Une autre navette est à l’étude pour l’hôpital des Trois-Chênes.
Gilles Miélot