Policier agressé, les syndicats dénoncent un manque d'effectifs
Après l’agression du policier de la brigade anti-criminalité dans la nuit de samedi à dimanche aux Eaux-Vives, le syndicat de la branche dénonce un manque criant d’effectifs.
Seuls 26 agents de police-secours étaient mobilisés pour les feux d’artifice, le minimum légal, jugé insuffisant en cas de dérapages.
Des violences envers les forces de l’ordre qui ont doublé en 7 ans. Une violence récurrente, et décomplexée, à l’image de l’agression des jeunes femmes il y a une semaine à la sortie d’une boite de nuit en plein cœur de la ville.
Une motion déposée par Ensemble à Gauche et le MCG qui demande plus d’effectifs pour la police de terrain sera débattue en plénière lors de la prochaine séance du Grand Conseil.
Gilles Miélot