«Si un élève est en quarantaine, il devra rattraper les cours»

Les annonces sont claires pour une rentrée scolaire moins compliquée que la précédente mais toujours délicate au vu de la crise sanitaire, selon Anne-Emery Torracinta.

Si l'année dernière le budget manquait, cette année c'est la crise sanitaire qui force le Département de l'instruction publique a prendre des précautions. Conséquence directe, les grandes réformes tant attendues, comme celle concernant le Cycle d'Orientation, sont prévues pour l'année prochaine.

«Maintenir l’école en présentiel quoi qu’il arrive»

C’est le but premier de la conseillère d'État genevoise qui, en dépit du contexte sanitaire actuel, durcit le ton envers les élèves éligibles au vaccin mais toujours non-vaccinés: «Les élèves ont le choix, mais s’ils sont malades ou en quarantaine, ils devront se débrouiller pour rattraper les cours, ce n'est plus de la responsabilité du Département.»