À Antigel, des lieux peu communs

Explorer les territoires, c’est l’une des missions d’Antigel. En ce matin d’hiver on retrouve Gabor, le programmateur des arts vivants du festival. Il nous a donné rendez-vous dans une forêt du canton. C’est là que va se dérouler l’une des performances « made in Antigel ». 

Dans ses Made in Antigel, le festival se donne deux missions. Pour mieux comprendre cette approche, on retrouve Éric Linder dans la zone industrielle de Plan les Ouates. C’est dans ce bâtiment, encore vide, de l’espace tourbillon, que va se dérouler un autre projet du festival. 

Pour la directrice des lieux, collaborer avec Antigel, c’est une façon originale de faire découvrir cet espace au public genevois, mais pas seulement. À la base, ces immenses plateaux devaient accueillir le Grand Central d’Antigel. Un projet irréalisable au vu des mesures sanitaires actuelles.  

Après des semaines de doute, c’est fois, c’est sûr, Antigel est lancé jusqu’au 19 février. Ce jeudi, le festival a lancé les hostilités par une grande fête dans son oasis au restaurant de la plage des eaux vives.