Dans les coulisses du Geneva Lux

Depuis plusieurs jours, Geneva Lux illumine la rade et le centre-ville. 32 oeuvres pour une dixième édition «Magique et Fantastique». Et derrière toutes ces installations technologiques, un travail avant tout humain. 

Mardi 16 janvier, nous sommes à trois jours du début de la manifestation. Au bout du quai du Mont-Blanc, un container vitré. Derrière, l'oeuvre, «Les saisons du photon» nous emmène dans un voyage à travers les quatre saisons, en lumière et en son. Une création poétique et écologique. 

Au Jardin anglais, le collectif Folnuit est venu en nombre pour monter «Ecolosion» une oeuvre créée pour l’occasion. Cela fait trois ans que ces genevois participent au festival. 

Des artistes locaux qui travaillent une technologie qui l’est également. À quelques mètres de là, «Jon» fait des étincelles. Ce passionné de surf a imaginé une vague qui semble sortir du lac. 

La nuit tombe sur la ville, le moment parfait pour tester et affiner les installations. En amont du pont des Bergues une tour doit éclairer au laser une surface située de l’autre côté du Rhône. 

Geveva Lux, un festival qui met en lumière la ville et des talents prometteurs à voir jusqu’au 4 février.