Le MEG questionne les relations entre les humains et la nature
Un voyage dans le temps qui débute aux fondements de l’humanité. Ce jardin d’Eden regroupe de nombreuses pièces des collections du musée.
On y découvre trois exemples d’absence de communication ou d’affrontement entre les humains et la nature. Vient ensuite le temps de l’espoir caractérisé par des personnages mythologies qui inspirent d'autres façons d’entrer en relation avec le vivant. Puis l’on se retrouve au coeur de l’exposition, serpentant entre 6 alvéoles qui nous racontent chacune l’histoire d’un de nos contemporains.
Ils sont sautier du Grand Conseil genevois, apicultrice zurichoise, chasseur de truffes piémontais, photographe animalier ou encore éleveuse de vaches d’Hérens et dessinatrice entomologique. Des exemples proches de nous, une façon aussi d’impliquer le public dans cette quête de nouveaux rapports. Enfin, l’exposition se termine par un rêve, celui d’un monde meilleur caractérisé par une oeuvre inspirée des dernières découvertes scientifiques. Ces filaments animés créés par un artiste hollandais représentent la communication qui existe entre deux arbres sous la terre.
L’exposition être(s) ensemble est à découvrir au musée d’ethnographie jusqu’au 7 janvier 2024.