« Il n’y a aucun secret, juste beaucoup de travail »
Le président de la fondation 1890, Didier Fischer, nous parle de ce que symbolisent les avancées des deux clubs genevois
Les auditeurs de Boomerang sur France Inter ne seront pas dépaysés : la première question qui est adressée à Didier Fischer lui demande s’il est un homme heureux. Ce à quoi, il répond par l’affirmative. Celui qui a repris le Servette FC puis le Genève-Servette se félicite des performances des « hommes et des femmes que l’on a engagés et à qui on a fait confiance ». Mais les grands clubs grenat sont-ils sains ? « Oui. Je suis serein. Nos partenaires nous répètent qu’ils sont derrière nous. »
Cependant, tout n'est pas parfait. « Financièrement, on est un peu aux abois. Les aides fédérales à fonds perdu n’ont pas été distribuées. On est dans une situation financière qui nous permet de démarrer la prochaine saison. » Concernant les infrastructures, « il faut qu’on se donne d’avoir les moyens d’avoir des infrastructures ». Il pointe un manque d’ambition de la part des politiques genevois et appelle à ce que tout le monde s’accorde. La patinoire elle aussi avance : « Ce projet va donner de l’air aux Vernets ».