Genève

Melisa Ozkul: encre de Chine et récits intimistes

07.12.2020 20h16 Rédaction

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À seulement 23 ans, Melisa Ozkul est finaliste pour le Prix Töpffer qui récompense les «Oscars de la Bande-dessinée» depuis vingt ans. La jeune femme, diplômée de l’École supérieure de bande dessinée et d’illustration de Genève est en lice pour le prix jeunesse. «Quand je m’y suis présentée, je ne m’y attendais pas du tout. Cela m’a prouvé que je peux me lancer dans ce métier.»

«Chute libre»

La biennoise aime particulièrement travailler l’encre de chine. Un style qu’elle a mêlé au fusain dans son récit autobiographique «Chute Libre». «Dans cet ouvrage, je parle des derniers instants que j’ai passé aux côtés de mon père avec un point de vue que j’ai maintenant.»

Aujourd’hui, Melisa Ozkul travaille sur un projet de bande dessinée racontant le parcours de migrants. 

 

Delphine Palma